Sédhiou, 9 juil (APS) – Une session de formation sur la prise en charge des violences basées sur le genre (VBG) a démarré depuis, lundi, au profit des forces de défense et de sécurité des régions de Sédhiou, Kolda et Ziguinchor (sud), à l’initiative du Projet d’Appui à la Stratégie nationale pour l’équité et l’égalité de genre (PASNEEG).
Cette rencontre de deux jours est financée par le gouvernement italien, en partenariat avec le ministère de la famille et des solidarités.
Elle vise à ‘’mieux outiller les éléments de forces de défense et de sécurité qui interviennent au niveau de ces trois régions, pour une meilleure prise en charge de la problématique des violences envers les communautés’’, a fait savoir la coordinatrice du PASNEEG, Awa Nguer Fall.
Selon elle, les forces de défense et de sécurité constituent ’’la première porte d’entrée pour les femmes et enfants victimes de violences basées sur le genre”.
‘’Le premier accueil est important pour la suite de la prise en charge des victimes car si les victimes sont bien accueillies à ce niveau la procédure suivra son cours normal”, a précisé la coordinatrice du PASNEEG, soulignant qu’à défaut, ”les victimes abandonneront le processus”.
Awa Nguer Fall a par ailleurs indiqué que ”des mécanismes de suivi seront mis en place à la disposition des auditeurs”.
Venue prendre part à cette cérémonie, Bintou Guissé, la commissaire de Zac-Mbao (Dakar), également point focal genre de la police nationale, a pour sa part souligné l’importance de mettre l’accent sur la communication afin de permettre aux victimes et enquêteurs d’être bien préparés sur ces questions.
A l’en croire, la police nationale est aujourd’hui dans une dynamique de faire le maillage de tout le territoire national du pays.
Elle a notamment souligné que onze bureaux dédiés aux questions genre ont été réalisés à travers le pays pour la prise en charge correct des VBG.
”Un bureau genre va être mis en place aujourd’hui à Sédhiou afin d’assurer une bonne couverture de la prise en charge des victimes de violences faites aux femmes et aux enfants”, a-t-elle laissé entendre.
OB/SKS/MK/OID
 – Une session de formation sur la prise en charge des violences basées sur le genre (VBG) a démarré depuis, lundi, au profit des forces de défense et de sécurité des régions de Sédhiou, Kolda et Ziguinchor (sud), à l’initiative du Projet d’Appui à la Stratégie nationale pour l’équité et l’égalité de genre (PASNEEG).Cette rencontre de deux jours est financée par le gouvernement italien, en partenariat avec le ministère de la famille et des solidarités.Elle vise à ‘’mieux outiller les éléments de forces de défense et de sécurité qui interviennent au niveau de ces trois régions, pour une meilleure prise en charge de la problématique des violences envers les communautés’’, a fait savoir la coordinatrice du PASNEEG, Awa Nguer Fall.Selon elle, les forces de défense et de sécurité constituent ’’la première porte d’entrée pour les femmes et enfants victimes de violences basées sur le genre”. ‘’Le premier accueil est important pour la suite de la prise en charge des victimes car si les victimes sont bien accueillies à ce niveau la procédure suivra son cours normal”, a précisé la coordinatrice du PASNEEG, soulignant qu’à défaut, ”les victimes abandonneront le processus”.Awa Nguer Fall a par ailleurs indiqué que ”des mécanismes de suivi seront mis en place à la disposition des auditeurs”.Venue prendre part à cette cérémonie, Bintou Guissé, la commissaire de Zac-Mbao (Dakar), également point focal genre de la police nationale, a pour sa part souligné l’importance de mettre l’accent sur la communication afin de permettre aux victimes et enquêteurs d’être bien préparés sur ces questions.A l’en croire, la police nationale est aujourd’hui dans une dynamique de faire le maillage de tout le territoire national du pays.Elle a notamment souligné que onze bureaux dédiés aux questions genre ont été réalisés à travers le pays pour la prise en charge correct des VBG.”Un bureau genre va être mis en place aujourd’hui à Sédhiou afin d’assurer une bonne couverture de la prise en charge des victimes de violences faites aux femmes et aux enfants”, a-t-elle laissé entendre.OB/SKS/MK/OID){kind=link}