ÉCONOMIE: EUROPE-GAZ-PRIX-HAUSSE-1
Le prix du gaz en Europe a augmenté en neuf mois de 21%, à 444 dollars pour 1.000 m3
MOSCOU, 1er octobre. /TASS/. Au cours des neuf premiers mois de l’année 2024, le prix du gaz en Europe a augmenté de 21%, à environ 444 dollars pour 1.000 m3, selon les données de la bourse ICE basée à Londres et les calculs de l’agence TASS.
Alors que les contrats à terme sur le gaz se négociaient à environ 367 dollars pour 1.000 m3 le 29 décembre 2023, ils ont atteint 444 dollars le 30 septembre, soit une hausse de 21% par rapport à la fin de l’année 2023.
En décembre 2023, le prix moyen du gaz en Europe était d’environ 408 dollars pour 1.000 m3, puis il a progressivement baissé jusqu’en mars: en janvier, il était à 337 dollars (-53% sur une année) et en février – à 288 dollars (-51%). Ensuite, les prix ont recommencé à augmenter: en mars, 1.000 m3 de gaz se chiffraient à 302 dollars (-38%), en avril – à 320 dollars (-33%), en mai – à 357 dollars (+0,2%), en juin – à 384 dollars (+5%), en juillet – à 366 dollars (+9%), en août – à 437 dollars (+10%), en septembre – à 416 dollars (-0,3%).
Cette augmentation des prix du gaz est due à un certain nombre de facteurs. Elle a été alimentée par un temps généralement chaud tout au long de l’année, la réorientation vers l’Asie des livraisons de gaz naturel liquéfié (GNL) et les perturbations dans les chaînes d’approvisionnement en Norvège et aux États-Unis. Les tensions géopolitiques au Moyen-Orient et la question de la prolongation de l’accord sur le transit du gaz russe via l’Ukraine, qui expire à la fin de 2024, ont également provoqué des tensions sur le marché.
Avec TASS
 et en février – à 288 dollars (-51%). Ensuite, les prix ont recommencé à augmenter: en mars, 1.000 m3 de gaz se chiffraient à 302 dollars (-38%), en avril – à 320 dollars (-33%), en mai – à 357 dollars (+0,2%), en juin – à 384 dollars (+5%), en juillet – à 366 dollars (+9%), en août – à 437 dollars (+10%), en septembre – à 416 dollars (-0,3%).Cette augmentation des prix du gaz est due à un certain nombre de facteurs. Elle a été alimentée par un temps généralement chaud tout au long de l’année, la réorientation vers l’Asie des livraisons de gaz naturel liquéfié (GNL) et les perturbations dans les chaînes d’approvisionnement en Norvège et aux États-Unis. Les tensions géopolitiques au Moyen-Orient et la question de la prolongation de l’accord sur le transit du gaz russe via l’Ukraine, qui expire à la fin de 2024, ont également provoqué des tensions sur le marché.Avec TASS){kind=link}