Dr Maiga a précisé que « ces déviations menacent l’unité de la communauté et alimentent des divisions (fitna) incompatibles avec les principes de notre foi ».
Il a appelé « tous les prédicateurs, imams et acteurs engagés dans le domaine de la da’wa à promouvoir un discours exempt de violence, de haine et de sectarisme ».
Le président du Présidium a terminé sa déclaration en affirmant qu’«un comité de suivi et de vigilance a été mis en place pour garantir le respect de ces principes et prendra des mesures appropriées contre tout manquement ».
Cette déclaration est intervenue après une concertation entre les membres du Collège des Oulémas et du Présidium de la Fédération des associations islamiques du Burkina.