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Burkina/AES : la jeunesse exhortée à assumer sa responsabilité en s’impliquant dans la reconstruction de l’espace
Ziniaré, 26 sept. 2024 (AIB) – Le ministre en charge de la jeunesse du Niger, le Colonel Major Abdourahamane Amadou, a invité mercredi à Ziniaré la jeunesse de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) à assumer sa responsabilité dans la reconstruction de l’espace en s’impliquant dans toutes les activités socio-économiques pour un avenir radieux dans les trois Etats, a constaté l’AIB.
« Cette jeunesse représente une bonne partie de la démographie dans nos pays. Donc, on peut mettre ce dividende démographique à profit, en l’encadrant, en faisant en sorte qu’ils assument leurs responsabilités, qui consistent à être dans toutes les activités socio-économiques de nos pays et surtout faire en sorte que l’avenir soit meilleur pour tous nos États », a déclaré le ministre en charge de la jeunesse du Niger, le Colonel Major Abdourahamane Amadou.
Le Colonel Major Abdourahamane Amadou, s’exprimait mercredi à Ziniaré à l’occasion de la première université d’été de l’Alliance des Etats du Sahel, organisée dans ladite ville, à une trentaine de kilomètre au nord de Ouagadougou.
Il a pris la parole au nom des trois ministres en charge de la jeunesse de l’AES.
La première université d’été de l’Alliance réunie pour trois jours, 251 leaders de jeunesses venues du Burkina Faso, du Mali et du Niger.
Durant 72 heures, ils doivent réfléchir sur leur contribution à la construction d’une sous-région stable et prospère.
« Nous comptons d’ores et déjà sur ces jeunes au vu de leur engagement et des différentes activités qu’ils mènent depuis un certain temps », a-t-il ajouté.
Pour le Colonel Major Amadou, « nous allons les accompagner avec le soutien de nos trois chefs d’Etat, qui ne lésinent pas sur les moyens en matière d’accompagnement de la jeunesse ».
Pour le président du comité d’organisation, Ibrahim Belem, cette université d’été se veut un cadre de partage et de réflexion entre les jeunes des trois Etats et également un cadre de communion entre les autorités et les jeunes issus des trois pays.
Pour M. Belem, les réflexions vont porter sur l’intégration de la jeunesse, sur le modèle de gouvernance et le modèle de développement économique qu’il faut à l’espace AES et également l’engagement des jeunes à être des acteurs de la paix.
Les recommandations issues de ces travaux seront remises aux chefs d’Etat, a-t-il précisé.
Agence d’information du Burkina
Dnk/as/ata
 – Le ministre en charge de la jeunesse du Niger, le Colonel Major Abdourahamane Amadou, a invité mercredi à Ziniaré la jeunesse de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) à assumer sa responsabilité dans la reconstruction de l’espace en s’impliquant dans toutes les activités socio-économiques pour un avenir radieux dans les trois Etats, a constaté l’AIB.« Cette jeunesse représente une bonne partie de la démographie dans nos pays. Donc, on peut mettre ce dividende démographique à profit, en l’encadrant, en faisant en sorte qu’ils assument leurs responsabilités, qui consistent à être dans toutes les activités socio-économiques de nos pays et surtout faire en sorte que l’avenir soit meilleur pour tous nos États », a déclaré le ministre en charge de la jeunesse du Niger, le Colonel Major Abdourahamane Amadou.Le Colonel Major Abdourahamane Amadou, s’exprimait mercredi à Ziniaré à l’occasion de la première université d’été de l’Alliance des Etats du Sahel, organisée dans ladite ville, à une trentaine de kilomètre au nord de Ouagadougou.Il a pris la parole au nom des trois ministres en charge de la jeunesse de l’AES.La première université d’été de l’Alliance réunie pour trois jours, 251 leaders de jeunesses venues du Burkina Faso, du Mali et du Niger.Durant 72 heures, ils doivent réfléchir sur leur contribution à la construction d’une sous-région stable et prospère.« Nous comptons d’ores et déjà sur ces jeunes au vu de leur engagement et des différentes activités qu’ils mènent depuis un certain temps », a-t-il ajouté.Pour le Colonel Major Amadou, « nous allons les accompagner avec le soutien de nos trois chefs d’Etat, qui ne lésinent pas sur les moyens en matière d’accompagnement de la jeunesse ».Pour le président du comité d’organisation, Ibrahim Belem, cette université d’été se veut un cadre de partage et de réflexion entre les jeunes des trois Etats et également un cadre de communion entre les autorités et les jeunes issus des trois pays.Pour M. Belem, les réflexions vont porter sur l’intégration de la jeunesse, sur le modèle de gouvernance et le modèle de développement économique qu’il faut à l’espace AES et également l’engagement des jeunes à être des acteurs de la paix.Les recommandations issues de ces travaux seront remises aux chefs d’Etat, a-t-il précisé.Agence d’information du BurkinaDnk/as/ata){kind=link}